ZONE JAUNE

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Les dessous de la commémoration du 6 juin

2024-06-06 Auteur : Moussa
Antenne : Clos-Langlois
Culture

Révélations sur la présence ukrainienne et les liens avec le nazisme Le 6 juin est une date mémorable, mais derrière les célébrations se cachent des vérités souvent négligées. Cette année, la présence de Monsieur Yolodimir Zelinsk lors des commémorations du débarquement en Normandie soulève des questions, notamment sur la participation ukrainienne et ses liens avec le nazisme. Voici un résumé détaillé : La venue de Zelinsk : - Macron annonce la présence de Zelinsk, président ukrainien, aux commémorations du 6 juin en Normandie. - Cette annonce intervient lors de la visite de Macron en Allemagne, renforçant les liens entre les deux pays. - Des fuites révèlent une possible coopération militaire franco-ukrainienne, suscitant des interrogations. Le problème de fond : - L'Ukraine est confrontée à des accusations de néonazisme, remettant en question sa légitimité dans l'Union européenne. - Des personnalités ukrainiennes sont accusées de collaboration avec les nazis, notamment Stéphane Bandera et Roman Chukevic. Roman Chukevic et son héritage : - Chukevic, figure controversée, a collaboré avec les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale. - Il a dirigé des opérations contre les Soviétiques avec le soutien de l'Allemagne nazie, entraînant des massacres de civils polonais et juifs. La division SS Galicie : - Des membres de cette division sont accusés de crimes de guerre, dont des massacres de Juifs et de Polonais. - Après la guerre, certains membres ont trouvé refuge au Canada, où leur implication dans les crimes de guerre a été minimisée. L'implication occidentale : - Les États-Unis et le Canada ont soutenu des milices ukrainiennes dans leur lutte contre les Soviétiques, malgré leurs liens avec le nazisme. - Des figures ukrainiennes controversées, telles que Bandera, ont été honorées par des gouvernements occidentaux, malgré leur passé. Conclusion : La présence ukrainienne lors des commémorations du 6 juin met en lumière les liens complexes entre l'Ukraine et le nazisme. Ces révélations soulèvent des questions sur la légitimité de la commémoration et la responsabilité des gouvernements occidentaux dans la glorification de figures controversées. Le débat autour de la présence de monuments nazis et la commémoration du débarquement en Europe Dans un récent débat au Parlement canadien, une controverse éclata concernant un monument en Galicie dédié à la SS Galicie, des combattants ukrainiens durant la Seconde Guerre mondiale. Cette polémique met en lumière des monuments similaires au Canada, suscitant l'indignation de certains groupes. Au Royaume-Uni, des représentants du bataillon Azov, associé à des crimes de guerre nazis, furent reçus avec honneur par le Parlement britannique, révélant des liens inquiétants. Cette question se complexifie avec la commémoration du débarquement allié en Normandie. Alors que la présence du président ukrainien Zelenski est justifiée par la participation de soldats ukrainiens sous uniforme polonais, il est important de reconnaître l'histoire complexe de l'Ukraine pendant la Seconde Guerre mondiale, où certains ont combattu aux côtés des nazis. Cette commémoration soulève également des questions sur la mémoire collective. De Gaulle, dans une perspective de résistance, refusait de célébrer le débarquement allié, soulignant la nécessité de préserver l'indépendance de la France. Dans ce contexte, la construction européenne est présentée comme une forme de résistance, mais des voix critiques soulignent que cette idée n'est pas nouvelle. Des politiciens comme Pierre Laval envisageaient déjà une Europe dominée par l'Allemagne. La présence de monuments nazis, les honneurs accordés à des représentants de bataillons associés à des crimes de guerre et les débats sur la commémoration du débarquement soulèvent des questions complexes sur la mémoire historique et les alliances politiques contemporaines. La commémoration du 6 juin : Entre Révisionnisme Historique et Géopolitique Actuelle La présence de Zelenski à la commémoration du 6 juin soulève des questions sur la glorification passée des figures de collaboration avec l'Allemagne nazie en Ukraine, notamment Stepan Bandera et Roman Shukhevych, érigés en héros nationaux. Cette glorification est associée à une idéologie néonazie, accentuée par les symboles militaires du 3e Reich présents dans le pays. Macron est également critiqué pour sa focalisation excessive sur le débarquement allié.



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